Des milliers de conteneurs sont entreposés au port de Lomé, entraînant des retards dans les procédures de dédouanement, notamment pour ceux destinés aux pays de l’hinterland (Burkina Faso, Niger, Mali). Les délais de sortie peuvent dépasser 30 jours, ce qui est jugé trop long.
Samedi, un accord a été conclu entre les autorités togolaises et les responsables de la société nigérienne du transit (NITRA). « Nous saluons la réactivité et l’écoute attentive des autorités togolaises face aux difficultés. Nous pensons que dans cette dynamique de dialogue, nous pouvons ensemble sauvegarder l’activité économique pour le bénéfice de nos deux pays, » a déclaré Mohamed Karanta, directeur de l’exploitation de NITRA.
Des discussions sont également en cours avec le Burkina Faso et le Mali.